Fiston

Depuis son plus jeune âge, Alex est amoureux de Sandra Valenti. Aujourd’hui, il lui faut un plan infaillible pour pouvoir enfin l’aborder. Il décide de s'adjoindre les services d'Antoine Chamoine qui presque 20 ans auparavant, a séduit Monica, la mère de Sandra.
 
Fiston porte sur la transmission et joue sur l'écart de générations et l'opposition apparente des caractères. Malgré de trop nombreux clichés et facilités, on rit assez souvent, notamment grâce à de bons dialogues, quoique parfois avec un peu de gêne. Frank Dubosc en fait des tonnes, surjouer l'impassibilité dédaigneuse, c'est encore surjouer. Kev Adams a encore du boulot pour devenir acteur mais il n'est pas si mal ; disons qu'il profite de sa bonne bouille mais qu'il n'est pas vraiment crédible en séducteur. L'un des plus gros problèmes du scénario, c'est sa prévisibilité : au bout de cinq minutes, je savais déjà comment finirait le film. Il y avait plus et mieux à faire avec un tel pitch de départ.
5/10

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